olliers de fleurs au cou, coupette de punch de Gloubi-boulga à la main, j’aperçois au loin mon vieux pote Christophe Izard ; lui est resté bloqué à 40 ans, il n’en fait pas 77. On discute 5 minutes, me demande des nouvelles de ma mère et si nous habitons toujours dans cet appartement normand trop petit de l’immeuble les « alouettes », si je n’appréhende pas trop mon entrée en maternelle, si mon joueur de foot préféré est toujours Rocheteau et si mon grand-père fait toujours autant le pitre.