Ce poids immense de la bêtise.
Ne dira-t-on jamais assez comme elle pèse, comme elle dirige, comme elle nourrit le pouvoir.
Entre ses mâchoires le pouvoir, monstre sans visage, broie l’humanité, la liberté et la réalité.
L’angoisse kafkaïenne est celle d’un monde qui a perdu son âme, celle d’un homme égaré dans le labyrinthe, sans fil conducteur.