La sobriété de la mise en scène et du décor contribue à une atmosphère très intime, très intérieure, très personnelle, comme si on pénétrait dans les tréfonds de l’esprit du personnage, de ses pensées, de ses névroses; et l’habilité avec laquelle les éléments de décor sont instrumentés apporte une pointe de légèreté, d’humour, et même d’espoir, que du néant, du désespoir absolu, peut encore ressortir quelque chose de beau, de grand.
LILIOM ou la Vie et la Mort d’un vaurien, Ferenc Molnar, Odéon
Pour tous ceux (comme moi) qui l’auraient raté au Théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis cet automne, les Ateliers Berthier du …
Paroles gelées, d’après François RABELAIS
Une mise en scène absolument grandiose et une adaptation subtile et savoureuse !