On aime ou on déteste son théâtre, parce qu’on ne peut pas y échapper par l’ennui, les bâillements assoupis ou la distraction; on est toujours empoigné dans ses visions, martelé par ses mots: Pippo Delbono est notre démiurge.
On aime ou on déteste son théâtre, parce qu’on ne peut pas y échapper par l’ennui, les bâillements assoupis ou la distraction; on est toujours empoigné dans ses visions, martelé par ses mots: Pippo Delbono est notre démiurge.